Des hommes et des plantes qui soignent

Depuis le 8 mai et jusqu’au 27 septembre, le domaine départemental de La-Roche-Jagu (Bretagne) propose une exposition intitulée Des Hommes et des Plantes qui soignent :

« Depuis les plus anciennes civilisations, les sociétés ont puisé dans la nature des ressources pour se soigner. Raconter cette histoire passionnante des plantes médicinales, telle est l’ambition de la nouvelle exposition conçue par le Domaine départemental de la Roche Jagu. »


Quatre documents du pôle Pharmacie de la BIU Santé ont été prêtés pour l’occasion :

D’autres partenaires de la BIU Santé sont également de la partie, dont le musée François-Tillequin et la Société d’histoire de la pharmacie.

En savoir plus

Le dossier de presse de l’exposition

Debut: 05/08/2015
Fin: 09/27/2015
Château de la Roche-Jagu
Ploëzal, Bretagne
22260
FR

Exposition : le bord des mondes

Plus que quelques jours pour visiter l’exposition Le bord des mondes, au palais de Tokyo.

Ouverte depuis le 16 février, elle fermera ses portes le 17 mai 2015.

Peut-on faire des œuvres qui ne soient pas «d’art» ? C’est en s’interrogeant avec Duchamp sur l’essence de la création et ses territoires que le Palais de Tokyo explore les mondes interstitiels, à la lisière de l’art, de la création et de l’invention.

La BIU Santé a été sollicitée pour prêter l’un de ses exemplaires de la fameuse planche de Jacques Gautier d’Agoty (1716-1785), l’Ange anatomique, gravée en 1746 pour la Myologie complète en couleurs et grandeur naturelle (disponible gratuitement en ligne dans notre bibliothèque numérique Medic@).

Un des premiers exemples de gravure en couleur, procédé mis au point par Jacques-Christophe Le Blon vers 1710, et perfectionné par Gautier D’Agoty qui, en rajoutant une plaque de cuivre pour le noir, invente la quadrichromie.

D’autres documents en rapport avec la médecine ont également été prêtés par d’autres institutions : une photographie de Guillaume Duchenne de Boulogne (contraction électrique des peauciers… 1876, École nationale supérieure des beaux-arts de Paris), feuille d’observation de Jean-Martin Charcot (1862, BUPMC)…

Estelle Lambert

Debut: 02/16/2015
Fin: 05/17/2015
13, avenue du Président-Wilson
Paris, Île-de-France
75116
FR

De l’argile au nuage : une archéologie des catalogues

Ouverture le vendredi 13 mars de la nouvelle exposition de la Bibliothèque Mazarine :

De l’argile au nuage : une archéologie des catalogues (2e millénaire av. J-C – 21e siècle)

Organisée par la Bibliothèque Mazarine et la Bibliothèque de Genève jusqu’au 13 mai 2015, cette exposition retrace l’histoire du catalogue à travers les siècles, depuis ses origines sous forme de tablette d’argile jusqu’à aujourd’hui sous forme informatique et dématérialisée.

L’exposition est accessible gratuitement du lundi au vendredi du 10h à 18h. Elle sera reprise à la bibliothèque de Genève du 18 septembre au 21 novembre 2015.

Catalogues en placards

Deux documents de la BIU Santé sont mis en lumière dans cette exposition. Il s’agit de catalogues de libraires de la fin du 16e siècle, imprimés à Bâle sous forme de placards, dont aucun autre exemplaire n’est connu à ce jour :
–    le premier, publié en 1580, propose des titres imprimés pour Eusebius Episcopius, qui géra l’Officina Hervagiana à partir de 1568, à la suite de la mort de Johann Herwagen ;
–    le second, publié en 1592, propose des titres publiés par les frères Nikolaus II Episcopius et Eusebius Episcopius, présentés par sujets, en vente dans la boutique de Hieronymus Gemusaeus.

La rareté de ces documents s’explique par le fait que ces listes qui apparurent dès 1470, produites rapidement, souvent à l’économie, avaient une utilité éphémère et n’avaient pas vocation à être conservées. Elles ont dû être jetées comme n’importe quel autre prospectus. C’est donc par hasard que les exemplaires conservés nous sont parvenus.

Avant d’être exposés, ces deux placards ont fait l’objet d’une restauration minutieuse dans l’atelier de la Bibliothèque Mazarine. Ils ont été sortis du volume dans lequel ils étaient montés et pliés, ils ont été mis à plat, nettoyés et consolidés. Cette restauration nous a aimablement été proposée par Yann Sordet, directeur de la Bibliothèque Mazarine, que nous tenons à remercier pour son initiative.

Fichier rotatif Columbia

Un autre élément mis en valeur dans cette exposition (mais non prêté, vous allez voir pourquoi) est le fichier rotatif qui orne la grande salle du pôle Médecine de la BIU Santé.

Impossible de le manquer quand on pénètre dans la grande salle de lecture : constitué de deux rangées double face, il présente des fiches par titres, auteurs, matières… comme on en trouvait dans toutes les bibliothèques. L’originalité n’est pas apparente au premier abord : chaque ensemble de cartes peut en fait pivoter sur un axe, à la manière d’un tambour de machine à laver, pour dévoiler les autres fiches et la suite du classement ; autant de place gagnée.

De nos jours, les données contenues dans ce fichier ont été pour la plupart incluses dans notre catalogue informatisé. Mais il constitue toujours un outil de dernier recours quand il s’agit de vérifier une référence.

Et son aspect massif continue à attirer l’attention de nos visiteurs de passage :

Ce mobilier était jusqu’ici peu documenté. L’organisation de l’exposition a donné lieu à une modeste enquête qui a permis de reconstituer son histoire.

Seule une étiquette « Columbia » laissait présager une possible origine américaine. Le Center for Research Libraries de Chicago et la National Library of Medicine ont été sollicités pour leur expertise. Un appel à l’aide sur les réseaux sociaux a également été lancé, mais en vain. Au contraire, une plongée dans les archives de la BIUM a permis d’en découvrir davantage : la société Columbia était en fait basée à… Paris.

D’après Mme Samion-Contet (bibliothécaire spécialiste en retraite), ce catalogue aurait été commandé à la fin des années 40. Et en effet, des factures retrouvées ont confirmé la livraison de la bête en 1951-1952. Un prospectus promotionnel d’époque a également été exhumé, vantant sa modernité.

Ledit fichier (modèle « Sipan ») a bénéficié à l’époque des honneurs du Bulletin d’informations de la Direction des bibliothèques de France.

En savoir plus

– Plus d’informations sur les sites web de la Bibliothèque Mazarine et de la Bibliothèque de Genève.

Le livre entre le commerce et l’histoire des idées. Les catalogues de libraires (XVe-XIXe siècle), études réunies par Annie Charon, Claire Lesage et Eve Netchine, Paris : École des Chartes, 2011 (cote BIU Santé 195 218)
À lire en particulier la description faite par Giles Mandelbrote à la fin de son article « Les catalogues de libraires dans les collections de sir Hans Sloane (1660-1753). Provenance et transmission » (p. 203-234)

– Se référer au catalogue de l’exposition et en particulier aux pages 25-26 de l’article de Yann Sordet, « Pour une histoire des catalogues de livres : matérialités, formes, usages ». Catalogue édité par la Bibliothèque Mazarine, la Bibliothèque de Genève et les Éditions des Cendres (ISBN 979-10-90853-05-8 / 978-2-86742-230-0), disponible à la BIU Santé.

Estelle Lambert & David Benoist

23 quai de Conti
Paris, Île-de-France
75006
FR

Exposition « Femmes en métiers d’hommes »

La nouvelle exposition du musée de l’Histoire vivante de Montreuil s’intitule « Femmes en métiers d’hommes » (jusqu’au 20 décembre 2015).

Adaptée du livre de Juliette Rennes paru en 2013, l’exposition retrace au travers de cartes postales de 1890 à 1930, mais également d’archives, photographies et couvertures de presse, l’histoire des premières femmes avocates, charpentières, cochères, doctoresses héroïsées ou moquées.

Tout au long de cette période, le débat sur la capacité des femmes à exercer ces métiers historiquement masculins s’accentue. Il devient incontournable dans les années 20, au vu du rôle des femmes dans la Première Guerre mondiale.

La BIU Santé a prêté 4 documents pour cette exposition :

–          La thèse d’Elizabeth Garrett Anderson intitulée Sur la migraine (Thèse Paris 1870 n° 138 – téléchargeable gratuitement sur Medic@). Cette Anglaise fut la première docteure de la Faculté de médecine de Paris

–          Une héliogravure de Jean Béraud représentant la soutenance d’Elizabeth Garrett Anderson (cote CIS/B : 1036)

–          Un fascicule de 1888 du journal L’Univers illustré dans lequel est reproduite une gravure de la soutenance de thèse de Caroline Schultze (cote CIS/C : 232)

–          Un feuillet extrait du journal le Gil Blas illustré, consacré à la chanson « La doctoresse », avec paroles, partition et illustration (cote CIS/C : 255)

Si ce sujet vous intéresse, pensez à consulter également le dossier de Medic@ consacré à l’histoire de l’entrée des femmes en médecine https://www.biusante.parisdescartes.fr/histmed/medica/femmesmed.htm

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Le site de l’exposition

Le livret pédagogique de l’exposition (29 pages)

Le livre à l’origine de l’exposition

Estelle Lambert

Debut: 01/17/2015
Fin: 12/20/2015
31, boulevard Théophile-Sueur
Montreuil, Île-de-France
93100
FR

 

 

Viollet-le-Duc, les visions d’un architecte

Exposition à la Cité de l’architecture

Aujourd’hui, jeudi 20 novembre 2014, vient d’ouvrir la nouvelle exposition de la Cité de l’architecture : Viollet-le-Duc, les visions d’un architecte.

Jusqu’au 9 mars 2015 vous pourrez y découvrir un visage inhabituel de cet architecte controversé, dans une exposition insistant sur son côté visionnaire.

À cette occasion, la BIU Santé a prêté l’un de ses ouvrages :

Traité complet de l’anatomie de l’homme de J.-B. Bourgery et N.H. Jacob.- Paris, 1832-1854. tome I.

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Le site de l’exposition

Le communiqué de presse de l’exposition

À l’occasion du 200e anniversaire de la naissance d’Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879), cette exposition rétrospective présente l’œuvre singulière de ce grand architecte, théoricien et restaurateur, fondateur du musée de Sculpture comparée dont le musée des Monuments français est l’héritier.
Debut: 11/20/2014
Fin: 03/09/2015
1, place du Trocadéro et du 11-novembre
Paris, Île-de-France
75116
FR

Secrets de beauté : une histoire de l’industrie cosmétique française

À l’heure où Paris accueille le 28e Congrès de l’International Federation of Societies of Cosmetic Chemists (IFSCC) et des chercheurs du monde entier, la BIU Santé consacre une exposition virtuelle à l’histoire de l’industrie cosmétique française, avec le soutien de LVMH Recherche. Cette exposition virtuelle bilingue permet de la partager largement et de lui donner une visibilité internationale.

Un secteur dynamique et innovant

L’industrie cosmétique française et ses produits de luxe sont reconnus dans le monde entier. Cette reconnaissance est le fruit d’une tradition et d’un croisement permanent entre sciences et savoir-faire. Cette industrie dynamique repose sur un tissu d’entreprises innovantes et la passion de créer.

La filière industrielle française est composée de 800 entreprises et représente 70.000 emplois. Produits de soin et de maquillage sont devenus au fil du temps des produits hautement technologiques. Ils reposent sur de nombreuses études et programmes de recherche.

Nouvelle exposition virtuelle

Cette exposition virtuelle propose de vous faire découvrir l’origine et les développements successifs de l’industrie et de la recherche dans les domaines du soin, de l’hygiène et de la beauté.

De tout temps, l’homme a cherché à prendre soin de son corps. Les civilisations antiques et médiévales nous ont légué de précieux témoignages de ce lien indéfectible entre santé et beauté. Les savoirs et les savoir-faire ont suivi les migrations et les échanges entre les hommes et se sont transmis, siècle après siècle, entre tradition et modernité.

Si aujourd’hui un produit cosmétique est défini à l’échelle internationale par des réglementations précises, ce n’était pas le cas par le passé. La cosmétique a ainsi évolué au fil des siècles, du secret, de la recette jusqu’à aujourd’hui des formules extrêmement pointues respectueuses des réglementations internationales.

Quelles sont les techniques, les découvertes, les grandes avancées scientifiques qui ont conditionné les innovations passées et présentes ? Voilà quelques questions auxquelles nous avons cherché à répondre.

Une riche iconographie vient illustrer le texte, donnant accès à plus de 400 documents rares ou inédits.

Une exposition bilingue français – anglais sur
https://www.biusante.parisdescartes.fr/cosmeto/fr
https://www.biusante.parisdescartes.fr/cosmeto/en

Philippe Galanopoulos


English version

Paris welcomes the 28th IFSCC Congress (International Federation of Societies of Cosmetic Chemists) and researchers from the entire world. The BIU Santé proposes a digital exhibition about the history of the french cosmetic industry, with the support of LVMH Recherche. This bilingual digital exhibition allows a worldwide broadcast and audience.

 

A dynamic and innovating sector

The french cosmetic industry and its luxuary products are famous in the entire world due to tradition and to a permanent crossing between sciences and expertise. This dynamic industry is built on a network of innovating companies and on the passion to create.

The french industrial sector is made up of 800 companies, which represents 70,000 jobs. Today care products and makeup result from high technologies. They depend on many studies and research programs.

A new digital exhibition

The purpose of this virtual exhibition is to make you discover the origins and the successive developments of this industry and the research in the field of personal care, hygiene and beauty.

We have always considered it important to take care of our body. The ancient and medieval civilizations have left us valuable testimonies of the direct link that exists between health and beauty. Century after century, knowledge and know-how have been transmitted through migrations and exchanges, thus allowing us to combine tradition and modernity.

Although nowadays, cosmetic products are defined by precise international regulations, this was not the case in the past. Cosmetics have been evolving over the centuries, from basic beauty secrets or recipes to today’s extremely elaborate formulas governed by international regulations.

Which techniques, discoveries, major scientific breakthroughs made past and present innovations possible? These are some of the questions we raise.

An abondant iconography illustrates the text, giving access to more than 400 uncommon or original documents.

A bilingual exhibition English-French on :
https://www.biusante.parisdescartes.fr/cosmeto/en
https://www.biusante.parisdescartes.fr/cosmeto/fr

 Philippe Galanopoulos

Vies d’herbier, par Pierre Zanzucchi

De la science à l’art

À l’occasion de la 31e édition des Journées européennes du patrimoine organisée cette année sur le thème « Patrimoine culturel / Patrimoine naturel », la BIU Santé a présenté Vies d’herbier : l’esprit de la trace, un ensemble de 16 planches réalisées par le peintre et sculpteur Pierre Zanzucchi.

Tout a commencé au mois de janvier 2013 lorsque Michel Paris, membre de l’Académie nationale de pharmacie, a donné à la bibliothèque un herbier ancien. Très rapidement, il est apparu qu’il serait aussi difficile de conserver que de valoriser ces trois ou quatre mille échantillons de plantes en voie de décomposition.

La rencontre fortuite avec le peintre et sculpteur Pierre Zanzucchi nous a permis d’entrevoir une possibilité de valorisation, non pas scientifique mais artistique. Avec l’accord du donateur, quelques-unes des planches de cet herbier ont été confiées à l’artiste parisien. Avec son regard, son expérience de peintre et de sculpteur, en retravaillant sur les planches mêmes de l’herbier, Pierre Zanzucchi a su trouver les moyens de faire surgir le « fantôme des herbes disparues » …

Force est de reconnaître que le résultat est en tout point étonnant. La poésie qui s’en dégage nous ramène à l’origine même de l’art, quand nos ancêtres disposaient des pigments colorés, du bout des doigts, à la surface de la roche. Vies d’herbier prolonge les recherches antérieures de l’artiste sur le thème du végétal et du minéral et, plus encore, de la trace. C’est à un double voyage que nous invite aujourd’hui Pierre Zanzucchi : l’un sur le versant poétique de l’échange ; l’autre sur le versant scientifique du dialogue, ce dialogue plus nécessaire que jamais entre l’art et la science.

Philippe Galanopoulos

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L’école de médecine et de pharmacie de Tours pendant la Grande Guerre

Dans le cadre des commémorations de la Première Guerre mondiale, une exposition est organisée à Tours sur « Quelques figures marquantes de l’école de médecine et de pharmacie de Tours pendant la Grande Guerre ».

Elle se tiendra du 19 septembre au 12 novembre 2014, à la bibliothèque de médecine Émile-Aron.

De 1914 à 1918, le monde est ébranlé par la Première Guerre mondiale. Elle fait plus de dix-huit millions de morts et vingt et un millions de blessés, militaires et civils. Personne n’est épargné. L’école de médecine et de pharmacie de Tours, qui compte 28 morts parmi ses élèves, paie un lourd tribut à ce conflit. La plupart meurent au front, d’autres décèdent des suites de leurs blessures. Le professeur Henry Barnsby succombe lors de la terrible épidémie de grippe espagnole.

Dans le cadre des commémorations du centenaire de la Grande Guerre, cette exposition présente les parcours de quelques professeurs de l’école de médecine et de pharmacie durant ce conflit : Henry Barnsby, Louis Lapeyre, Félix Baudouin, Louis Dubreuil-Chambardel, mais aussi Francis Cosse, Raoul Mercier et Paul Guillaume-Louis.

La faculté de Médecine de Tours et l’université François-Rabelais sont à l’origine de cette exposition.

Dans le cadre des journées du Patrimoine 2014, des visites libres ou commentées seront organisées le samedi 20 septembre, de 10h à 12h30.

En savoir plus

Consulter les panneaux de l’exposition sur le site de la faculté de Tours.

Quelques figures marquantes de l’école de médecine et de pharmacie de Tours pendant la Grande Guerre
Exposition « Quelques figures marquantes de l’école de médecine et de pharmacie de Tours pendant la Grande Guerre ». Les professeurs Henry Barnsby, Louis Lapeyre, Félix Baudoin, Louis Dubreuil-Chambardel… ont payé un lourd tribut à ce conflit.
Debut: 09/19/2014
Fin: 11/12/2014
10, boulevard Tonnellé
Tours, Centre
37032
FR

Exposition sur le cheval à Roubaix

Le cheval et sa place dans la société

À l’occasion des jeux équestres mondiaux qui se déroulent en France en août et septembre 2014, une exposition est organisée sur le thème :

« Le cheval et sa place dans la société de la fin du XVIIIe s. à nos jours »

Elle se tiendra du 25 août au 25 octobre 2014 aux Archives nationales du monde du travail à Roubaix.

Plusieurs œuvres de la BIU Santé ont été prêtées à cette occasion :

Ill. tirée du Cours d’hippiatrique de Lafosse.

Deux illustrations sont également du voyage :

Quelques types de coiffures de chevaux parisiens CISA0223

La chaleur à Paris : une distribution gratuite de chapeaux pour chevaux à la Société protectrice des animaux (1901) CISB0595

En savoir plus

Le site des archives de Roubaix

Le cheval et sa place dans la société de la fin du XVIIIe s. à nos jours
Debut: 08/25/2014
Fin: 10/25/2014
78, boulevard du Général-Leclerc
Roubaix, Nord-Pas-de-Calais
59100
FR

Exposition « De Goya à Delacroix… »

Les relations artistiques des Guillemardet

Le musée Rolin d’Autun présente actuellement une exposition intitulée « De Goya à Delacroix, les relations artistiques de la famille Guillemardet ».

Elle se tiendra jusqu’au 21 septembre 2014, en collaboration avec le musée du Louvre.

À cette occasion, la BIU Santé a prêté trois œuvres de Ferdinand Guillemardet :

Pour en savoir plus

Une présentation en ligne de l’exposition

Le dossier de presse (15 pages)

Musée Rolin 3, rue des Bancs
Autun, Bourgogne
71400
FR