Fin de l’annuaire Rosenwald

Attention, plus qu’une semaine pour consulter le site www.rosenwald.com (avec mot de passe depuis nos postes), qui ne sera plus accessible à compter du 30 novembre 2014.

 

C’est donc la fin de l’annuaire Rosenwald, une institution qui référençait les professionnels de santé depuis 1887.

Vous pourrez toujours consulter les anciens annuaires présents dans les collections de la BIU Santé.

Retrouvez également les premières éditions numérisées du Rosenwald sur Gallica.

Test de AdisInsight (pharmacologie)

En test jusqu’à fin 2014

À tester sur les ordinateurs de la BIU Santé.

AdisInsight de Springer est un portail d’interrogation de trois bases de données spécialisées en pharmacologie :

  • Clinical Trials Insight (essais cliniques)
  • PV Insight (pharmacovigilance)
  • R§D Insight (recherche et développement)

Plus de 30.000 médicaments sont décrits.

Les fiches contiennent :

  • des documents synthétiques écrits par des experts, avec une bibliographie intégrée donnant (parfois) accès au document original ;
  • les rapports de cas ;
  • la pharmacovigilance (PSURs, remontant jusqu’en 1982) ;
  • les interactions médicamenteuses ;
  • les essais cliniques (avec détails des différentes phases de développement dans chaque pays).

Source des données : Medline, Embase, congrès scientifiques, centres OMS, infos agences réglementaires, etc.

Pour vous connecter et tester la base, cliquez sur ce lien.

Contactez-nous pour nous donner votre avis : doc-elec@biusante.parisdescartes.fr

Des éditeurs soutiennent la BIU Santé

Comme vous le savez déjà, la BIU Santé a dû interrompre cette année tous ses abonnements à des revues imprimées.

Pour mémoire, vous pouvez consulter ici les raisons de cette situation inédite dans l’histoire de la bibliothèque.

Des collections de périodiques, complètes depuis l’origine, parfois uniques, ont ainsi été arrêtées brutalement début 2014. Jean Deleuze, rédacteur en chef de la Revue du Praticien, avait accepté le mois dernier de fournir gracieusement à la bibliothèque un exemplaire de chaque nouveau numéro de cette année.

Outre les donateurs réguliers qui alimentent les collections de la bibliothèque depuis toujours, d’autres éditeurs ont décidé de soutenir à leur tour la BIU Santé, en envoyant les numéros en cours de leurs revues (liste en cours de constitution, d’autres propositions continuant de nous parvenir) :

APIDPM – Santé tropicale, pour les revues Médecine d’Afrique Noire et Odonto-stomatologie tropicale ;

The British Editorial Society of Bone & Joint Surgery pour la revue The Bone and Joint Journal dont l’accès en ligne (sur place uniquement) est maintenu jusqu’à fin décembre ;

Comité international de médecine militaire pour la Revue Internationale des Services de Santé des Forces ;

– La Confédération nationale des syndicats dentaires pour la revue Le Chirurgien dentiste de France ;

Direction européenne de la qualité du médicament & des soins de santé pour l’accès à la Pharmacopée européenne ;

Edimark pour la revue La lettre du neurologue ;

Éditions CdP pour la revue Implant : Chirurgie Prothèse ;

Éditions NecPlus pour les revues Année psychologique et Enfance ;

EDP Sciences pour les revues Biologie Aujourd’hui, Médecine Bucccale Chirurgie Buccale, Movement & Sport Sciences – Science & Motricité, Orthodontie Française, Perspectives psychiatriques, Médecine/science ;

Elsevier qui maintient l’ouverture d’Embase jusqu’à fin mars ;

Espace ID pour la revue I.D. L’information dentaire ;

Fédération hospitalière de France pour la revue Techniques hospitalières ;

Global Media Santé pour les revues Concours médical, Panorama du médecin,La revue du praticien, La revue du praticien Médecine générale ;

– Le Groupe Profession Santé pour les revues Le médecin généraliste, Le quotidien du médecin, Le quotidien du pharmacien.

Informa pour l’accès à l’ensemble de leurs revues jusqu’à fin mars ;

JBH Santé pour la revue Réflexions rhumatologiques ;

Karger, qui propose de garder l’accès ouvert à la collection complète de revues en ligne  jusqu’à la fin du mois de juin ;

Les Études Hospitalières pour les titres Revue de droit médical et d’identification appliqués à l’odontologie et Revue Droit et Santé ;

La Ligue française contre l’épilepsie pour la revue Les cahiers d’épilespieS ;

Mary Ann Liebert Publishers pour l’accès à l’ensemble de leurs revues jusqu’à fin juin ;

Masson pour les revues Archives des maladies professionnelles et de l’environnement, Éthique et santé, Journal de thérapie comportementale et cognitive, Journal de traumatologie du sport, Journal des maladies vasculaires, Journal of Neuroradiology – Journal de neuroradiologie, Motricité cérébrale, Neuro-chirurgie, Revue des maladies respiratoires & Revue des maladies respiratoires. Actualités ;

Médecins du Monde et Boris Martin pour la version imprimée de la revue Humanitaire, disponible également en ligne ;

Nature Publishing Group pour les revues Nature et Nature Reviews Drug Discovery dont les accès ont été rouverts jusqu’à fin mai ;

Société chimique de France pour L’actualité chimique ;

Société française d’éditions médicales pour La revue des SAMU – médecine d’urgence ;

Société française d’ethnopharmacologie pour Ethnopharmacologia ;

Wiley pour l’envoi de toutes leurs revues en format papier.

La BIU Santé remercie chaleureusement ces professionnels pour leur générosité. Elle permettra de faire en sorte que les numéros de l’année 2014 figurent bien dans nos collections, comme les années antérieures. En espérant que cette situation n’est que temporaire et que la bibliothèque pourra se réabonner au plus vite et à nouveau jouer un rôle actif dans la chaîne de l’édition française.

Pour mémoire, la BIU Santé est CADIST (centre d’acquisition et de diffusion de l’information scientifique) pour la médecine, l’odontologie et la cosmétologie. Elle a donc pour mission de posséder une collection de référence au niveau national pour ces disciplines.

Contraintes budgétaires et désabonnements 2014

[Billet original publié le 7 janvier 2014]

En raison des restrictions budgétaires 2014, nous sommes contraints d’interrompre un grand nombre d’abonnements (ressources électroniques et imprimées).

Certains droits réservés capl@washjeff.edu

Vous trouverez dans les fichiers ci-dessous la liste des accès concernés :

Toutes les ressources concernées, électroniques et imprimées (PDF, 175 Ko) ;

Revues imprimées concernées  (PDF, 500 Ko).

Certains accès ont déjà été interrompus (par ex. Conf+, que nous aurions dû prolonger en 2014), les autres devraient l’être progressivement dans les semaines qui viennent.

Grâce à la générosité de certains éditeurs, certaines ressources ont pu être maintenues, sous forme papier ou électronique (cliquez ici pour le détail des accès concernés).

En cas de besoin nous vous proposons, à titre provisoire, la solution du Prêt Entre Bibliothèques (PEB / cliquez sur ce lien).

Nous sommes désolés de ne plus pouvoir assurer un service adapté à vos besoins.

Pour tout renseignement complémentaire, n’hésitez pas à nous contacter.

Vous pouvez aussi nous faire part de vos réactions ou poser vos questions dans les commentaires ci-dessous.

[Mise à jour par Guy Cobolet, directeur de la BIU Santé]

Le 15 janvier 2014,

Pour répondre à certains des commentaires postés sur ce blog, je puis apporter les éléments d’information suivants :

1. les difficultés résultent de plusieurs facteurs, qui se combinent :

* un problème structurel, lié au modèle économique de l’information électronique adopté par les éditeurs à la fin des années 90. Modèle fondé depuis toujours sur le chiffre d’affaires papier. Notre bibliothèque, très ancienne, possédant la collection de revues la plus importante de toutes les universités françaises, paie donc les ressources électroniques deux ou trois fois plus cher que la plupart des établissements comparables.

* par ailleurs, étant CADIST, la bibliothèque doit (c’est l’une de ses missions nationales parmi d’autres) continuer d’acquérir des revues imprimées, les diffuser et les conserver, de manière à ce que les autres établissements soient exemptés de cette tâche et qu’il existe, dans le pays, une collection de référence et de sauvegarde.

* comme vous le savez, l’inflation annuelle du coût de la littérature scientifique varie entre 5 et 15% selon les titres, les disciplines, les pays de publication. Avec un budget stagnant depuis des années et en diminution depuis 2013 (-5%), il est bien évident qu’un jour le système ne fonctionne plus.

De 2007 à 2013, nous avions, pour maintenir l’essentiel, dû résilier 650 abonnements à des revues, et avons donc supprimé les titres les moins importants, les moins consultés.

Aujourd’hui, vu les contraintes budgétaires, c’est le cœur de la collection qui est atteint, car il constitue la seule variable d’ajustement possible qui reste (pour préserver l’offre documentaire, tous les autres postes budgétaires ont été déjà rognés dans le passé : informatique, matériels, papier photocopie, travaux, déplacements, fournitures…).

Dans ce cœur de collection, figurent des titres que la bibliothèque possédait depuis le n°1 du 19e siècle : Jama (1883), New England Journal of Medicine (1928), PNAS (1915), Nature (1869), l’Année psychologique (1895) et des centaines d’autres. Des titres complets depuis leur origine, qui constituent un patrimoine scientifique unique en France.

* enfin, pour le budget primitif 2014, l’ Université Paris Descartes fait face à des contraintes budgétaires très fortes et doit faire 22 M€ d’économies. Le budget primitif de la BIU a été réduit de 800.000€, celui du Service commun de la documentation de 500.000€, et c’est donc 1,3 M€ de ressources qu’il fallait supprimer au 1er janvier 2014 (24% du budget demandé, qui reconduisait le budget 2013).

2. Les critères de suppression :

* ont dû être conservés des bouquets de titres pour lesquels on s’était engagé dans le cadre de contrats pluri-annuels : Springer, Elsevier, CAS-ACS pour un total de 1,47 M€. Les deux revues mineures citées par M. Warlin font partie de ces bouquets.

* le solde disponible (70.000€, une fois pourvus tous les autres postes budgétaires incompressibles) a ensuite été consacré à l’acquisition de quelques ressources (revues et bases de données) dans les domaines couverts par la bibliothèque (médecine, pharmacie et odontologie en priorité, mais aussi psychologie, soins infirmiers et paramédical), en conservant aussi quelques ressources pour les étudiants, qui seront les chercheurs ou les praticiens de demain. Et l’on a tenté de préserver un certain niveau d’achat d’ouvrages.

3. À la lumière de ces faits qui, espérons-le, ne sont pas irréversibles et peuvent être amendés, la vraie question que l’on peut se poser, me semble-t-il, est la suivante :

Quelle est la place de l’information scientifique, de la documentation et des bibliothèques dans l’université, ici comme ailleurs ? Relèvent-elles du potentiel de recherche, et/ou du potentiel pédagogique, ou d’autres secteurs plus ou moins nécessaires ?

Des réponses apportées à ces questions découlent les financements.

Guy Cobolet, directeur

[Mise à jour par Guy Cobolet, directeur de la BIU Santé]

[Voir ci-dessus pour le billet original sur les désabonnements en cours]

Le 30 janvier 2014,

Quelques autres éléments d’information :

À la suite des messages reçus et publiés sur ce blog depuis le 15 janvier [voir ci-dessous], il me semble nécessaire d’apporter des précisions complémentaires sur les points suivants :

1. L’Open Access : tout le monde en parle, et la question a été abordée sur le blog de la bibliothèque.

Nous en avons présenté très rapidement l’économie générale, en effleurant la question des coûts, qui pourtant est bien réelle, car l’édition a un coût.
La formule Gold, où le chercheur paie pour être publié (1.000, 2.000, 3.000 euros l’article) et qui se développe à grands pas depuis quelque temps, mérite d’être étudiée sérieusement.
Vous l’avez compris : aujourd’hui, une revue est financée par deux sources principales : les abonnements annuels (souscrits par les particuliers et surtout par les institutions, notamment les bibliothèques) et les chercheurs/laboratoires.

Pour appréhender ce que représente en totalité le poste budgétaire de la documentation et de l’information scientifique, il me semble utile et nécessaire que l’université connaisse toutes les dépenses des uns et des autres, si elle veut se doter d’une politique efficiente en la matière. Avec le Gold Open Access, des transferts de charges (ou des additions de charges ?) sont en cours, mais personne ne connaît exactement le total des sommes consacrées à l’acte de publication. C’est bien dommage, et il est temps de se doter des outils indispensables et pertinents pour mesurer la chose.

2. Le temps est aussi venu, je crois, de revoir la politique d’achat qui prévaut en France (et ailleurs) depuis 15 ans, celle des « big deals », où l’on achète des bouquets de titres (en général tous les titres électroniques d’un éditeur, vendus en bloc), quel que soit leur contenu, au motif (avéré, mais uniquement fondé sur des pratiques commerciales discutables) qu’un big deal est moins coûteux que l’achat sélectif des quelques titres pertinents qui correspondent aux recherches et formations dispensées dans l’institution.
Un exemple, pris parmi d’autres : à Paris Descartes (comme partout ailleurs), nous sommes abonnés au bouquet Science Direct d’Elsevier, qui donne accès à 2.000 revues.

Voici les statistiques d’usage de ce portefeuille dans notre université :

  • 96 revues font l’objet de 50% de toutes les consultations ;
  • 264 revues font l’objet de 75% de toutes les consultations ;
  • 519 revues font l’objet de 90% de toutes les consultations.

Et je pourrais multiplier les exemples…
Faut-il continuer ainsi ? Stop ou encore ?

3. Je crois, pour en finir, que la seule solution n’est pas la révolution, mais ne pourra procéder que d’un partage d’idées, d’un vrai débat dans la communauté académique et d’une action conjuguée entre tous les acteurs concernés au sein des universités et de la nôtre, qui tous jouent un rôle déterminant en la matière : les chercheurs qui publient et/ou participent aux comités de lecture, les bibliothécaires qui gèrent les acquisitions et les accès, en fonction d’une politique à long terme, les usagers qui ont des besoins et leur mot à dire, et les décideurs qui doivent définir une politique fondée sur des bases solides, justifiées, adaptées et pertinentes.

Lisez le message du directeur général des bibliothèques de l’université de Montréal, qui s’est ému des suppressions d’abonnements que nous avons opérées en janvier et dont je partage entièrement la philosophie.

Lisez aussi cette interview de Paul Thirion, directeur général du réseau des bibliothèques de l’université de Liège – université qui a été l’une des premières à imposer le dépôt en Open Access pour tous les articles rédigés par ses membres.

Guy Cobolet, directeur

N’hésitez pas à faire part de vos réactions ou poser vos questions dans les commentaires ci-dessous.

Epidémie dans les bibliothèques de médecine

Les bibliothèques canadiennes dans la tourmente

Il n’y a malheureusement pas qu’en France que les bibliothèques scientifiques connaissent des difficultés financières.

Source : Université de Montréal

Au Canada, le début de l’année a été marqué par la fermeture controversée des bibliothèques de l’agence fédérale Pêches et océans. La dispersion de ces collections avait été décidée pour des motifs budgétaires – sur fond de polémique politique.

Les bibliothèques de l’université de Montréal sont elles aussi touchées par la crise : elles viennent d’annoncer leur désabonnement aux trois quarts des revues Wiley Online Library (1142 titres sur 1510). Une même conjonction d’événements est à l’œuvre : baisse des budgets alloués et hausse continue du prix des abonnements.

Leur communiqué revient en détail, chiffres à l’appui, sur les contraintes imposées et les choix effectués. Les bibliothèques ont également mis en ligne toute une série de pages, judicieusement baptisées « Nouvelle ère pour les collections ». Elles donnent une vision d’ensemble du problème : le rôle des grands éditeurs commerciaux, les questions financières, mais aussi la responsabilité des chercheurs, eux-mêmes auteurs et éditeurs scientifiques.

Santé Canada, organisme influent en matière de santé publique, vient quant à lui de fermer sa principale bibliothèque. La réorganisation de ces services, toujours pour des raisons de coût, ne manque pas de compliquer le travail des chercheurs.

Une solution : l’Open Access ?

Une alternative pour sortir de ce cercle vicieux réside dans la diffusion du modèle de l’Open Access (OA ou libre accès), en plein développement. Au lieu de publier leurs articles dans des revues payantes, les scientifiques diffusent leurs travaux dans des périodiques gratuits ou via des archives ouvertes. Toute la communauté bénéficie ainsi des avancées de la recherche. Mais cette diffusion génère paradoxalement de nouveaux coûts : à côté de l’auto-archivage en ligne (voie « verte ») se développe la voie « en or » (gold) ; ce ne sont plus les abonnés aux revues qui payent, mais ceux qui se font publier (chercheurs, institutions, laboratoires).

Les éditeurs commerciaux, qui ont pris le train en marche, privilégient cette approche, qui leur fournit de nouvelles sources de revenus : ce ne sont plus seulement les bibliothèques qui payent, mais aussi les auteurs. Sans parler des nouveaux éditeurs qui se lancent dans l’aventure, d’où une multiplication de titres et des dépenses afférentes.

Mais les déclarations d’intention en faveur de l’OA ne suffisent pas. Des pays, de plus en plus nombreux, incitent à la diffusion en libre accès des résultats des recherches financées sur fonds publics (généralement un an après la première publication). C’est le cas du Royaume-Uni, de l’Irlande, des États-Unis… Ces derniers viennent d’ailleurs de confirmer leur volonté en ce sens, avec un vote du Congrès annoncé le 16 janvier dernier.

La France demeure en retard sur ces questions, comme le soulignait Geneviève Fioraso il y a un an déjà, malgré les initiatives déjà prises en la matière : portails HAL pour les archives ouvertes, licences nationales ISTEX… Le programme européen H2020, lancé en décembre dernier, sera-t-il l’occasion de changer la donne ?

Pour ceux que ces questions intéressent, la 6e conférence sur l’édition savante en accès libre (COASP : Conference on Open Access Scholarly Publishing) se tiendra justement à Paris, au siège de l’UNESCO, du 17 au 19 septembre 2014.

Pour en savoir plus :

Le communiqué de l’université de Montréal ;

Un article de la revue Archimag sur ce même sujet ;

Un article sur les bibliothèques de Health Canada ;

Un billet de nos collègues d’Angers sur l’agenda de l’Open Access en France ;

Le discours de Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, aux 5e journées Open Access (24 janvier 2013).

Testez les Cochrane Clinical Answers

Clinical Answers en test jusqu’au 31 décembre

Cochrane Clinical Answers (CCAs) est un tout nouvel «outil de soutien clinique» (outil d’aide à la décision) proposant des réponses aux questions cliniques avec un accès aux données Cochrane (liens directs aux Reviews notamment).


La base propose 430 questions-réponses cliniques, réparties en 22 spécialités (dont «Neurology», «Endocrine and metabolic»…), et que l’ont peut interroger par une recherche libre.
Attention : la recherche doit se faire en anglais.

Un test est accessible jusqu’au 31 décembre 2013 (cliquez sur ce lien).

Cette base est disponible sur nos postes et en accès distant pour les affiliés Paris Descartes. Si vous dépendez d’une autre université, renseignez-vous auprès de votre bibliothèque habituelle : un test similaire est peut-être en cours dans votre faculté, mais avec une adresse différente.

Nous vous remercions d’envoyer vos remarques ou commentaires à :
catherine.weill@biusante.parisdescartes.fr
claire.nguyen@biusante.parisdescartes.fr

Claire Nguyen & Catherine Weill

Istex (mise à jour) : Testez de nouvelles ressources

Avis à la population des chercheurs, enseignants-chercheurs et autres membres de l’université !

Nous vous avions sollicités en 2012 pour savoir quelles ressources électroniques vous intéressaient, dans le cadre du projet ISTEX.

Logo ISTEX

« Un an après l’enquête de recueil des besoins des chercheurs et enseignants-chercheurs, le projet ISTEX avance : une première sélection de ressources a été opérée ; elles sont actuellement négociées en vue d’une acquisition nationale. Les communautés de recherche en bénéficieront très prochainement. »

Pour en savoir davantage, téléchargez ici le document de 4 pages faisant le point sur le projet et sur les échéances à venir.

Dès à présent, un test national est lancé :

Il concerne des offres plus spécialisées, en vue de la sélection d’une deuxième liste de ressources à négocier.

Avec la mise en place de ce test national, les communautés scientifiques sont invitées à prendre connaissance des produits proposés et à donner leur avis.

Pour cela, il vous suffit de cliquer sur la ressource de votre choix, qui figure dans la liste http://www.istex.fr/?Campagne-nationale-de-test.

Les collections à l’essai sont accompagnées d’un document de présentation auquel il est possible d’accéder en cliquant sur l’icône PDF (en face de chaque ressource).

Dans le domaine Sciences de la vie et de la santé, vous trouverez :

–  les Karger eBooks Non-Serials et Serials Collections (1997-2012) ;

– Springer, avec des ebooks « sciences de la vie et biomédicales » et « médecine » ;

– des ebooks Wiley ;

– des ebooks Elsevier ;

RSC ebook complete collection 1968-2013.

À l’issue de la consultation, les chercheurs peuvent donner leur avis en répondant à l’enquête (une enquête par ressource consultée) :

Cliquez ici pour accéder au test !

Vous avez désormais jusqu’au 30 novembre 2013 (et non plus 31 octobre) pour essayer ces ressources. Merci par avance de vos retours via le questionnaire ou en écrivant à claire.nguyen@biusante.parisdescartes.fr OU catherine.weill@biusante.parisdescartes.fr

PubMed : formation et nouveautés

Améliorer vos recherches dans PubMed ?

Vous utilisez déjà PubMed et souhaitez en découvrir les fonctionnalités avancées ?

Pour répondre à vos demandes, une session supplémentaire de la formation PubMed 2 a été prévue la semaine prochaine.

Elle aura lieu le mercredi 30 octobre, de 17h à 19h.

Détails et inscriptions sur cette page :

http://www2.biusante.parisdescartes.fr/formations/?do=init

Il reste également une place pour la formation PubMed niveau 1 qui aura lieu demain, jeudi 24 octobre, de 16h30 à 19h.

Nouveau dans PubMed cette semaine

À propos de PubMed, n’oubliez pas les deux nouveautés annoncées hier par la National Library of Medicine :

– Le tri par pertinence des résultats, en test depuis plusieurs semaines, est désormais effectif. Cette fonction est proposée en haut à droite de votre page de résultats :

– Autre nouveauté, en test : PubMed Commons, qui permet de publier des commentaires sous le résumé d’un article particulier. Pour ce faire, il faut posséder un compte MyNCBI et avoir demandé à participer au test :

PubMed Commons (qui est accessible ici) est présenté sur le blog NCBI Insights (cliquez ici).

Testez RxnFinder jusqu’au 31 octobre

Pour nos lecteurs versés en chimie organique, une nouvelle base est en test jusqu’à fin octobre :

RxnFinder (sur nos ordinateurs et en accès distant avec vos codes Paris Descartes – il faut cliquer sur LOGIN en haut à droite pour accéder au contenu).

RxnFinder est le moteur de recherche en ligne de la ChemInform Reaction Library (CIRX). CIRX contient plus de 1,7 million de réactions organiques et couvre les données de 1990 à nos jours. Elle est produite par des spécialistes de chimie organique comme un outil pour la synthèse organique.

RXNFinder

Les données sont choisies parmi environ 100 revues par des critères de sélection précis. Il s’agit d’une base de réactions ciblées.

RxnFinder est mis à jour rapidement, et de nouvelles réactions sont ajoutées quelques semaines seulement près leur publication.

Caractéristiques :

  • 70 000 nouvelles réactions ajoutées chaque année ;
  • Recherche par structure, sous-structure, type de réaction ;
  • Recherche par conditions expérimentales : réactif, solvant, pertinence ;
  • Recherche par données bibliographiques : auteur, revue, année de publication ;
  • Plus de 40 000 réactions manquées (pertinence 0%) sont indexées, vous aidant ainsi à repérer les impasses potentielles ;
  • Filtre par respect de l’environnement.

Nous vous remercions par avance de nous donner votre avis sur cette base (cliquez sur ce lien pour nous écrire). Le test dure jusqu’au 31 octobre 2013.

Didier Partouche

Une base de données publique des médicaments (BDPM)

Le 1er octobre 2013, ouverture de la première base de données publique des médicaments.

Base de données publique du médicamentCette base de données administratives et scientifiques sur les traitements et le bon usage des produits de santé est mise en œuvre par l’agence nationale de Sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), en liaison avec la haute autorité de Santé (HAS) et l’union nationale des Caisses d’assurance maladie (UNCAM), sous l’égide du ministère des Affaires sociales et de la santé.

Elle est destinée aux professionnels de santé mais aussi au grand public et est accessible librement, à l’adresse suivante :

http://base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr/

Un mode d’emploi en vidéo est disponible pour cette nouvelle base en cliquant ici.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter cet article du journal Le Monde (daté du dimanche 29 septembre). Pour mémoire, le quotidien Le Monde est accessible depuis les postes informatiques de la BIU Santé, et en accès distant pour les affiliés Paris Descartes.

Vidéo médicamentEn rapport avec ces questions, retrouvez cette courte vidéo du Monde (3:43), sur le circuit de surveillance des médicaments.

Guillemette Utard