Exposition : le bord des mondes

Plus que quelques jours pour visiter l’exposition Le bord des mondes, au palais de Tokyo.

Ouverte depuis le 16 février, elle fermera ses portes le 17 mai 2015.

Peut-on faire des œuvres qui ne soient pas «d’art» ? C’est en s’interrogeant avec Duchamp sur l’essence de la création et ses territoires que le Palais de Tokyo explore les mondes interstitiels, à la lisière de l’art, de la création et de l’invention.

La BIU Santé a été sollicitée pour prêter l’un de ses exemplaires de la fameuse planche de Jacques Gautier d’Agoty (1716-1785), l’Ange anatomique, gravée en 1746 pour la Myologie complète en couleurs et grandeur naturelle (disponible gratuitement en ligne dans notre bibliothèque numérique Medic@).

Un des premiers exemples de gravure en couleur, procédé mis au point par Jacques-Christophe Le Blon vers 1710, et perfectionné par Gautier D’Agoty qui, en rajoutant une plaque de cuivre pour le noir, invente la quadrichromie.

D’autres documents en rapport avec la médecine ont également été prêtés par d’autres institutions : une photographie de Guillaume Duchenne de Boulogne (contraction électrique des peauciers… 1876, École nationale supérieure des beaux-arts de Paris), feuille d’observation de Jean-Martin Charcot (1862, BUPMC)…

Estelle Lambert

Debut: 02/16/2015
Fin: 05/17/2015
13, avenue du Président-Wilson
Paris, Île-de-France
75116
FR

Fermeture du 1er mai

La BIU Santé sera fermée le vendredi 1er mai, jour férié.

Mais elle sera ouverte normalement le samedi 2 mai (excepté au pôle Pharmacie, pour cause de plan Vigipirate).

L’occasion de délaisser l’atmosphère studieuse de nos salles pour aller en forêt compléter vos herbiers (si le temps est clément).

Vous aurez peut-être la chance de ramasser quelques brins du fameux muguet – dans le cas contraire, vous pourrez toujours en trouver des spécimens dans notre banque d’images et portraits, accessible de partout, même par mauvais temps :

L’occasion de (re)découvrir nos services en ligne, disponibles 7 jours sur 7 et 24h/24 :

Pour les historiens, en accès libre : la bibliothèque numérique Medic@, la Banque d’images et de portraits, et pourquoi pas une petite visite du côté des expositions virtuelles.

Pour les lecteurs de Paris Descartes, les bases de données en médecine ou en pharmacie, les revues électroniques et les livres électroniques en médecine ou en pharmacie.

Zoom sur les questions-réponses à distance

La BIU Santé à l’écoute de ses lecteurs

Depuis 2003, la BIU Santé propose un service de questions-réponses en ligne, Biuminfo. Il s’agit d’un service gratuit, accessible 24h/24, 7j/7. Une équipe de bibliothécaires s’engage à répondre à toute personne qui recherche, à titre professionnel ou pour ses études, de la documentation dans le domaine de la santé.

Ce service est le prolongement naturel de la mission de renseignement traditionnel de la bibliothèque. Ce billet de blog vous présente les différents services de réponse à distance qui s’offrent à vous.

Aux questions traitées par Biuminfo s’ajoutent ainsi les questions reçues par mail ou via nos listes de contacts, qui représentent un volume tout à fait considérable. Ainsi, l’activité de réponse en ligne au sens large représente plus d’un millier de réponses par an en moyenne, selon la répartition ci-dessous :

À titre de comparaison, voici les statistiques pour 2014 d’autres services de renseignement à distance :

  • Rue des facs (réseau de 25 établissements, 200 répondants) a répondu à 1648 questions en 2014
  • Ubib (réseau de 13 bibliothèques) a traité 5383 questions par mail et en chat
  • Eurekoi (ex-biblioses@me) (réseau de 26 partenaires) a répondu à 2528 questions

Quelles questions dans Biuminfo ?

Les bibliothécaires du service répondent à l’ensemble des questions du champ de la santé, y compris son aspect historique. Les questions relatives au champ paramédical sont également les bienvenues. Les statistiques concernant la typologie des questions font ressortir une forte demande de recherches bibliographiques, suivies par les demandes de localisation ou de fournitures de documents. À noter la proportion non négligeable de questions relatives à l’histoire de la médecine ou de la pharmacie.

Le nombre de questions traitées par le service Biuminfo est assez stable, autour d’une cinquantaine par mois. Environ 600 questions sont ainsi traitées chaque année :

L’équipe s’engage à répondre sous 48 heures aux questions qui lui sont adressées. Dans la majorité des cas, les usagers obtiennent une réponse dans la journée. En 2014, à l’image des années précédentes, le délai de réponse est d’ailleurs inférieur à 1 jour.

Provenance des questions

En 2014, plus de 8% des questions reçues par Biuminfo proviennent de l’étranger. Parmi les pays les plus actifs, on notera les pays francophones, notamment ceux du Maghreb.

Niveau de satisfaction

Chaque réponse est accompagnée d’un questionnaire de satisfaction, par lequel l’usager est invité à exprimer son niveau de satisfaction sur une échelle de 1 à 4 (1= totalement répondu à la question, 4 = pas répondu du tout). 25% en moyenne des usagers répondent à cette enquête, en exprimant un taux de satisfaction très élevé :

Enfin, la BIU Santé, pour parfaire son offre, a mis en place depuis 2013 un service de rendez-vous personnalisés. Les lecteurs sont accueillis, pour une durée d’une heure et demie en moyenne, par un bibliothécaire, avec lequel ils échangent sur leur sujet de recherche. Particulièrement apprécié par les internes et les étudiants en début de thèse, ce service connaît une progression constante depuis son ouverture : 230 personnes ont ainsi pu bénéficier d’une aide personnalisée à la recherche documentaire depuis l’ouverture du service. On note pour la période janvier-avril 2015 une augmentation de 30% du nombre de rendez-vous par rapport à la même période 2014.

En ligne ou sur place, n’hésitez plus : les bibliothécaires de la BIU Santé sont à votre service, pour répondre à vos questions !

Alexandre Boutet

Réponse à la devinette en chocolat

L’animation autour du chocolat organisée par la BIU Santé pôle Pharmacie touche à sa fin.

La réponse à la devinette proposée est un crâne.

Sept personnes ont participé. Les trois personnes les plus rapides à avoir répondu sont :

1) Mme Marjorie Werner, bibliothécaire à Poitiers.

2) M. Victor Marage-Tanner, étudiant en troisième année de pharmacie.

3) Mme Marine Frampas, étudiante en cinquième année de pharmacie.

Ces trois personnes recevront un ballotin de chocolat. Le premier prix disposera en plus du livre du Dr Hervé Robert Les vertus santé du chocolat : vrai/faux sur cet aliment gourmand (EDP Sciences, 2014), aimablement offert par l’auteur.

La BIU Santé remercie le Dr Hervé Robert, médecin nutritionniste, membre de l’Académie Française du Chocolat et de la Confiserie pour son don. Nous signalons que plusieurs de ses livres sont consultables à la BIU Santé pôle Pharmacie, notamment :

Conférence autour d’Edouard Fuster

Le vendredi 17 avril, de 16 h à 18 h, Isabelle Lespinet-Moret (université Paris Ouest) et Raymond Dartevelle (université Paris 1 Panthéon Sorbonne) donneront une conférence sur le thème :

« Autour de l’enseignement et de l’expertise d’Édouard Fuster, professeur au Collège de France : un acteur de l’assurance, de la prévoyance et de l’assistance dans les réseaux de la « science sociale (1890-1930) »

Cette séance du séminaire de l’IDHES-CNRS se tiendra dans la salle Picard 3 à l’université Paris 1, 17, rue de la Sorbonne (galerie Rollin à gauche, au fond, escalier C, 3e étage, couloir à droite, salle tout au fond).

Contemporain de l’ingénieur social Émile Cheysson (1836-1810) et du sociologue Maurice Halbwachs (1877-1945), Édouard Fuster (1869-1935) qui fut professeur au Collège de France de 1916 à 1935 reste encore un acteur méconnu. Évoqué par les spécialistes de l’étude de la « nébuleuse réformatrice » (C. Topalov) des années 1880-1914, le parcours professionnel et scientifique de celui qui fut très impliqué, dès avant la Grande Guerre, dans les réseaux réformateurs, nécessite de nouvelles recherches.

Proche des milieux industriels et libéraux du Musée social, les collaborations institutionnelles d’Édouard Fuster sont nombreuses, du secrétariat général du Comité permanent des assurances sociales à celui de l’Alliance d’hygiène sociale et de l’Association française des assurances sociales. À ce titre, il conduit des enquêtes internationales et comparatives, notamment avec l’Allemagne et l’Autriche, en matière de statistiques (accidents du travail), d’analyse des législations et systèmes de protection sociale (retraites, maladies, invalidités, notamment), d’hygiène publique (dispensaires), de prévention (physiologie du travail), de logement (habitations ouvrières) et de politique familiale. De telle sorte qu’il est considéré au même titre que les ingénieurs des mines, disciples de Le Play, Édouard Gruner (1849-1933), dont il est très proche, et Maurice Bellom (1865-1919), comme un expert de ces questions. À ce titre il a bénéficié de la création d’une chaire au Collège de France spécifiquement consacrée à un enseignement de la prévoyance et de l’assistance sociale.

Outre les enquêtes et travaux scientifiques, l’enseignement d’Édouard Fuster constitue un deuxième axe de recherche et de réflexion. Les thématiques de ses cours, dans le cadre du Collège de France puis à l’École des hautes études urbaines dès sa création en 1919 – elle est rattachée à l’université de Paris en 1924 –, sont significatifs de l’éclectisme de la pensée, de l’étendue du champ de réflexion d’Édouard Fuster, de son implication dans le large spectre des sciences sociales et dans le débat épistémologique sur la place de l’assurance au cœur de la science sociale.

Dans le sillage des sociologues qui enquêtent sur les pathologies urbaines (cf. M. Halbwachs) et alors que se développe au lendemain de la Grande Guerre, la création d’Instituts d’université plus en prise avec l’environnement économique et industriel, Édouard Fuster fait un enseignement sur « l’organisation sociale de la ville ». Cette fonction le situe aussi dans le réseau des penseurs de la ville et de l’urbanisme face aux enjeux de la modernité. »

Contact : raymond.dartevelle@gmail.com et margairaz.michel@orange.fr

Vous trouverez la présentation et le programme complet du séminaire sur le site de l’IDHES-CNRS :

http://www.idhe.cnrs.fr (voir séminaires de recherche – Paris 1)

Dictionnaire de l’Académie de pharmacie

Un dictionnaire en ligne

Le 25 mars 2015 a eu lieu la présentation du nouveau dictionnaire des sciences pharmaceutiques et biologiques, œuvre de l’Académie nationale de pharmacie.

Initialement publié en format papier (1997, avec une nouvelle édition en 2001), ce dictionnaire est désormais disponible gratuitement en ligne, à l’adresse suivante :

http://dictionnaire.acadpharm.org/

Fruit de cinq années de labeur, cette nouvelle édition a été coordonnée par le Pr Francis Puisieux, aidé de plus de 150 collaborateurs différents.

Cet ouvrage rassemble «l’ensemble des connaissances touchant le médicament et autres produits de santé, les sciences physico-chimiques en rapport avec ces domaines, la biologie, la santé publique, l’environnement et la santé, la diététique, la nutrition, la cosmétologie. Sont également décrits les symptômes majeurs des principales pathologies.»

Les intérêts d’une publication en ligne sont multiples :

  • Mise à disposition gratuite pour tous, plus large diffusion des informations
  • Mises à jour facilitées. Vous pouvez d’ailleurs proposer vos contributions en écrivant à l’adresse suivante : info@acadpharm.org
  • Impact plus faible sur l’environnement

Ce dictionnaire est désormais signalé dans le catalogue national SUDOC, grâce aux catalogueurs de la BIU Santé.

Le frontispice du site présente deux personnalités déjà mises à l’honneur par la BIU Santé :

– à gauche, Antoine-Augustin Parmentier (1737-1813), auquel est consacrée une exposition virtuelle sur notre site

– à droite, François Dorvault (1815-1879), qui a donné son nom à l’une des salles de lecture de notre pôle Pharmacie.

Et la médecine ?

L’Académie nationale de médecine n’est pas en reste, qui propose elle aussi une version en ligne de son dictionnaire (édition 2010).

En attendant une nouvelle mouture entièrement révisée sur laquelle planche actuellement un groupe de travail.

En savoir plus

Présentation du projet par Jean-Pierre Foucher, président de l’Académie.

 

RHippocrate : société d’intégration…

Les rencontres d’Hippocrate

Logo rencontres d'HippocrateLa prochaine « Rencontre d’Hippocrate » aura lieu le jeudi 16 avril 2015,

sur le thème « Société d’intégration ou société inclusive pour les personnes en situation de handicap ».

Conférence prononcée par M. Bernard ENNUYER, sociologue, chercheur université Paris Descartes.

La conférence aura lieu dans l’amphithéâtre Frézal (15, rue de l’École-de-Médecine, site des Cordeliers, 2e étage) de 18h à 20h30. Elle sera filmée puis mise en ligne à l’adresse suivante.

L’accès à ces rencontres est libre et ne nécessite pas d’inscription.

Retrouvez le programme 2014-2015 et les vidéos des sessions précédentes en cliquant sur ce lien.

Vous pouvez également consulter les bibliographies élaborées par les BU de Paris Descartes en cliquant ici.

Continuer la lecture de « RHippocrate : société d’intégration… »

Salle Landouzy fermée vendredi après-midi

Attention, demain vendredi 10 avril 2015, la salle Landouzy (au pôle médecine-odontologie) sera fermée de 15h30 à 20h. Certaines ressources imprimées en odontologie seront donc inaccessibles pendant quelques heures.

La grande salle sera ouverte comme à l’accoutumée, vous pourrez donc venir travailler au 12, rue de l’École-de-Médecine.

Nous vous prions de nous excuser pour la gêne occasionnée.

Salle Landouzy

Table ronde sur les besoins documentaires en santé

Le 18 novembre 2014, une table-ronde a été organisée par la BIU Santé et l’URFIST de Paris sur le thème des besoins documentaires en santé.

Elle a donné lieu à un dialogue enrichissant entre étudiants, enseignants et professionnels de la santé et de la documentation, dont vous trouverez un compte-rendu ci-dessous (rédigé avec l’aide des intervenants, merci encore à eux pour leur participation).

Étaient présents sur l’estrade :

Brigitte Cleis, documentaliste (IFSI Bichat – Paris)
Christian Funck-Brentano, professeur de l’université Pierre-et-Marie-Curie (UPMC) et praticien hospitalier en pharmacologie clinique (CHU Pitié-Salpêtrière)
Mireille Périé, documentaliste (CHI Gonesse – Val d’Oise)
Roxane Varengue, élue CFVU et étudiante en 4e année de médecine (Paris 5 Paris Descartes).

3 thèmes ont été abordés au cours de cette table ronde :

  1. Quels sont les usages et besoins pour la documentation en santé ?
  2. Quels sont les outils utilisés par les professionnels de santé pour accéder à la documentation, ont-ils reçu une formation spécifique à ces outils ?
  3. Comment accède-t-on aux documents, dans un contexte budgétaire contraint ?

Usages et besoins pour la documentation en santé

Christian Funck-Brentano commence par évoquer ses besoins documentaires en tant que PU-PH :

« Mes besoins sont énormes, constants, rapides pour ne pas dire compulsifs. On travaille toujours dans la panique. »

Les trois besoins fondamentaux en documentation pour le PU-PH : la recherche, l’enseignement, le soin.

Les PU-PH ont besoin d’accéder immédiatement à de la littérature en texte intégral, pertinente, dans leur spécialité, et parfois sur des thèmes plus larges : pour se renseigner sur un sujet qu’on maîtrise mal, rédiger une expertise ou préparer un cours… PubMed est utilisé, mais aussi Google. Notamment pour trouver des images et des graphiques pour illustrer les cours :

« Plus il y a de texte, moins les étudiants retiennent. »

Des Grecs à Gutenberg, la transmission du savoir était principalement orale. On est ensuite passé à l’écrit. Aujourd’hui, nous voici arrivés à un point où la masse de données à assimiler et à transmettre est trop importante. Mais de nouvelles solutions devront être trouvées rapidement, notamment avec la pression des iECN, qui se passeront sur tablettes dès 2016. Les enseignants sont confrontés en première ligne à ces difficultés : ils doivent entraîner les étudiants à réussir leurs examens, mais aussi à soigner des patients.

Continuer la lecture de « Table ronde sur les besoins documentaires en santé »

Devinette en chocolat

Pâques approchant, la BIU Santé pôle Pharmacie propose une animation autour du chocolat entre le 7 et le 17 avril 2015. À cette occasion, nous vous proposons un petit jeu avec trois ballotins de chocolats à remporter.

Le mot que je cherche se trouve dans une carte postale numérisée. Suivez les quatre étapes ci-dessous pour le trouver.

1) Le premier mot-clé est caché dans la grille ci-dessous (8 lettres) :

 

2) Le deuxième mot-clé se trouve à la fin du titre d’un guide écrit par un pharmacien qui a joué un rôle important à la faculté de pharmacie de Paris.

Premier indice (l’auteur du livre) : Je suis né en 1867 et j’ai dirigé le Musée de matière médicale de 1900 à 1937. Qui suis-je ?

Deuxième indice (le sujet du livre) : Je suis un arbre de la famille des Sterculiacées.

Une fois que vous aurez trouvé les deux indices ci-dessus, interrogez notre catalogue pour obtenir le bon document, et donc le deuxième mot-clé.

 

3) Avez-vous trouvé les deux mots-clés ? Essayez-les dans la banque d’images et de portraits pour obtenir la bonne carte postale : il n’y en a qu’une !

Ça y est vous avez trouvé ! Le mot que l’on cherche est l’objet que le personnage tient dans la main et ce n’est pas un œuf !

 

4) Envoyez vos réponses à blog@biusante.parisdescartes.fr. Les trois premières personnes qui trouveront la bonne réponse gagneront un ballotin de chocolats.

 

Si vous êtes intéressé par le chocolat et son histoire, vous pouvez vous rendre au pôle Pharmacie de la BIU Santé où plus d’une cinquantaine d’ouvrages sur la question sont exposés et peuvent être empruntés.

Le Musée François Tillequin – Collection de matière médicale et le Fonds de dotation pour la gestion et la valorisation du patrimoine pharmaceutique ont la gentillesse de nous prêter quelques objets à l’occasion de cette animation.

Du 27 mai au 27 septembre 2015, le Musée Cognacq-Jay présentera l’exposition « Thé, café ou chocolat ? L’essor des boissons exotiques au XVIIIe siècle ».

L’Arboretum du Domaine départementale de la Vallée-aux-loups organise des cafés botaniques : « Café, thé ou chocolat ? L’histoire de trois plantes qui ont révolutionné notre quotidien. »
Mercredi 20 mai : le chocolat
Mercredi 27 mai : le thé
Mercredi 3 juin : le café
Rendez-vous est donné à la serre de cours de jardinage de l’Arboretum, à 14h30 (entrée gratuite).

Fonds de dotation pour la gestion et la valorisation du patrimoine pharmaceutique
Musée François Tillequin – collection de matière médicale